Le secret du tranchant des katanas est consigné dans ce rouleau, pour s’assurer de la qualité des lames qu’ils produisaient, des essais étaient réalisé sur des individus vivants, souvent condamnés à mort pour divers raisons. Les samurais payaient alors des bourreaux pour tester leurs lames sur ces condamnés puisque selon la tradition, cette basse besogne était indigne de leur rang.
Il est dit qu’à l’époque les condamnés, pour briser les lames lors de ces essais sanglants, mangeaient au préalable des cailloux.