« Dans la seconde moitié du IVᵉ millénaire, des sceaux de forme cylindrique font leur apparition en Mésopotamie. Ils vont très vite y remplacer les cachets plats, en usage depuis le Vᵉ millénaire, dans l’authentification des scellements qui permettaient de sécuriser le stockage et le transport des marchandises. Ces petits cylindres de pierre, gravés sur l’ensemble de leur surface, étaient en effet aisément déroulés dans l’argile fraîche, faisant apparaître des motifs complexes, organisés en de véritables compositions symboliques. Reproduites autant de fois que nécessaire, ces empreintes pouvaient ainsi servir de marque de propriété. » (cit. wikipedia.org)
Ce sceau est l’un des chefs-d’oeuvre les plus aboutis de l’art de la glyptique du Proche-Orient antique qui atteint l’un de ses sommets en Mésopotamie à la fin du IIIᵉ millénaire sous l’empire d’Agadé.