« En 1928 Charles Peignot confie à Maximilien Vox la conception des Divertissements typographiques, présentant sous chemises des feuilles volantes imprimées sur divers papiers, composées dans tous les types de caractères mis à disposition par la fonderie, dans un registre de fantaisie, de jeux de mots et de lettres. Ces documents étaient offerts aux imprimeurs clients de la fonderie, afin qu’ils puissent faire la publicité de ces caractères auprès de leurs propres clients. Vox souhaitait sensibiliser les imprimeurs à la typographie moderne. Le paradoxe veut que les caractères de Deberny et Peignot, hormis le Bifur, ne sont guère représentatifs de cette modernité revendiquée. Leur parution devait être semestrielle, mais seulement trois seront assurées jusqu’en 1930. À partir du n° 4, en 1931, les Divertisements vont s’instaurer en spécimens de l’Europe-Futura puis du Pharaon, une linéale et une mécane dans l’esprit du temps. »
– cit. immaterielles.org –
→ Consulter Les Divertissements typographiques – Tome 1 | 1928
→ Consulter Les Divertissements typographiques – Tome 2 | 1929
→ Consulter Les Divertissements typographiques – Tome 3 | 1930
→ Consulter Les Divertissements typographiques – Tome 4 | 1931
→ Consulter Les Divertissements typographiques – Tome 5 | 1931