« Le projet Decodeunicode, développé au département Design de l’Université des Sciences Appliquées de Mayence (Allemagne) et supporté par le Ministère Fédéral de l’Éducation et de la Recherche, répertorie environ 165 000 signes de l’écriture cunéiforme, aux symboles mathématiques, caractères chinois, éthiopiens, arméniens …
Decodeunicode vient du besoin de mettre en relation tous les signes de l’écriture que nous cotoyons de manière numérique, avec le language Ascii, qui permet la traduction de caractères numériques sous forme de bits, autrefois 7 puis 8, il est passé à 16 et s’appelle aujourd’hui Unicode. C’est cet Unicode qui permet, comme le projet le montre de regrouper la quasi totalité des caractère existants. (Pour en savoir plus sur le language Ascii). » (Emmanuelle Floris, cit. graphismlinks)
« D’après Johannes Bergerhausen, l’Unicode n’est pas seulement un standard technique pour tous les ordinateurs (actuellement plus de 60 % du web est codé en Unicode) mais aussi et surtout une grande réussite culturelle de l’humanité: toutes les lettres de tous les systèmes d’écritures sont présentes dans un seul et même code, accessible à tous les utilisateurs d’ordinateurs. L’Unicode peut donc être considéré comme une sorte d’assemblée des Nations Unies de la typographie: toutes les cultures ont le droit d’y être représenté. Même les systèmes d’écritures mortes, comme le cunéiforme, sont intégrés dans l’Unicode. » (cit. pointypo.com)
→ decodeunicode.org
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